Durant l’année 2024, le site TREIZE² PIQUE sera en pleine évolution.

À l’heure actuelle, ce design ne représente pas mon essence, ce que je souhaite apporter. Mon identité de marque n’est pas présente et mon rôle de guide et de conseillère pour justement t’aider a créé ton univers de marque avec ton branding et ton site n’est pas visible. J’entame une formation en Design Humain pour mieux me connaître et mieux te guider. Le site reste ouvert le temps de laisser infuser mon plan d’attente et se réincarnera d’ici quelques mois.

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Lydia Polienor graphiste Free-lance

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Lydia Polienor Treize ² Pique

Rencontre avec Ophélie – Sophrologue, Auteure et Secrétaire

Aujourd’hui, comme promis, je vais te parler d’Ophélie. Rencontrée lors du challenge #JeRamenMaFraise.

Mes impressions sur le challenge, avant de commencer et à J1

Ophélie est secrétaire, sophrologue et auteure. Je lui laisse la parole pour te présenter comment elle a rejoint le challenge de Nina Ramen.

Comment j’ai rejoint le challenge JeRamenMaFraise

Il était une fois, (car toutes les belles histoires commencent ainsi), il était une fois donc, une petite graine de fraise.
Elle était seule dans la grande prairie LinkedIn, parmi des milliers d’autres graines, fleurs, fruits jeunes ou mûres et compositions florales.
Elle avait toute cette beauté à portée de main, mais pourtant petite graine se sentait seule et perdue dans ce vaste potager.
Puis un jour, une autre graine de fraise partagea une nouvelle inédite : il existait un autre champ, ouvert à toutes les petites graines de fraises un peu seules et perdues, comme elle.
Petite graine de fraise sauta sur l’occasion et chercha le chemin vers cet Eden. Il lui fallait passer par le boulevard Challenge, puis la rue RamenTaFraise.
Mais voilà, il y avait tellement de monde, que petite graine ne savait plus où donner de la fraise !
Au détour de la sente CoupeDesMaisons, elle comprit que chaque graine de fraise devait se rendre dans une maison qu’elle ferait sienne, où elle trouverait d’autres graines de fraise, comme elle.
Mais il fallait faire vite, car les maisons se remplissaient et se remplissaient !
Seulement voilà, petite graine de fraise avait la tête ailleurs et partout à la fois, et elle arriva en retard dans les maisons, qui lui fermèrent tour à tour leur porte. Heureusement, une dernière maison vit le jour et petite graine de fraise y entra précipitamment. C’était la maison LénaSituations
Elle était navrée d’être en retard, mais elle n’était pas la seule, ho, non !
Voilà maintenant que petite graine de fraise est devenue une jeune fraise, soutenue dans une sororité bienveillante.
Quelle aventure pour une toute jeune fraise !

Nous avons toutes deux fait confiance à Catherine, qui a réalisé nos portraits chinois, Dazibao. Je te partage un extrait et te laisse lire l’ensemble de son portrait chinois sur la page LinkedIn de Catherine.

Voici son portrait chinois, mon ✨Dazibao©️:

  • Si j’étais une sophronisation je serais : « Le voyage dans le cosmos », pour permettre aux personnes de prendre du recul, tout en prenant conscience de leur place dans ce monde, dans l’univers. De plus, j’ai toujours été attirée par cet infiniment grand, cet espace où mon imagination trouve toute sa place, et peut-être aussi car au fond de moi, je ne me sens à ma place que dans cet ailleurs.
  • Si j’étais une citation, je serais : toutes les citations à la fois, tout en n’étant aucune d’entre elles, car nulle vérité n’est universelle, et que chacun ressent les choses différemment. Si ce n’était que pour moi je serais celle-ci : « Tous les hommes pensent que le bonheur se trouve au sommet de la montagne alors qu’il réside dans la façon de la gravir » CONFUCIUS
  • Si j’étais un sentiment, je serais : l’amour. L’amour est ce qui régit ma vie. Quand j’aime, j’aime inconditionnellement. Il n’y a pas sentiment plus puissant et plus destructeur à la fois, plus doux et plus amer. L’amour est un poison délicieux, un nectar sulfureux.
  • Si j’étais un recueil, je serais : « Les fleurs du mal « de Baudelaire. Pour la beauté de son titre en premier lieu, et pour la richesse des sentiments de ses poèmes, pour leurs effets sur mon cœur.

Je souhaite plus que tout que ce portrait vous guide jusqu’à elle pour qu’elle puisse répondre à vos attentes dans ses domaines de prédilection comme la sophrologie. Partez à sa rencontre en la suivant désormais sur son profil LinkedIn, je vous assure un moment avec une personne authentique.

Le portrait chinois réalisé par Catherine : Lien vers le portrait chinois

Contents
  1. Ce portait chinois va te permettre de connaitre un peu plus Ophélie
  2. Parcours Professionnel d’Ophélie Coruble : Une Secrétaire Qui Devient Sophrologue
  3. Passions Diversifiées : L’Écriture et la Sophrologie chez Ophélie
  4. Ophélie en Quête de Légitimité

Ce portait chinois va te permettre de connaitre un peu plus Ophélie

Je lui ai posé quelques questions sur elle et son métier de Sophrologue.

La Sophrologie est une discipline qui m’était inconnue avant mars 2023. Puis j’ai rencontré une sophrologue, Céline, qui m’a initié à la pratique de la sophrologie. J’ai adoré ces échanges car en contrepartie, je lui ai réalisé son branding (univers de marque). Nous avons remis à plat son histoire, le socle, les fondations de son entreprise, en faisons ressortir ses piliers, ses fondamentaux, sa personnalité, son ton de voix et bien d’autres éléments qui constituent aujourd’hui son identité de marque sur les réseaux, communication print et évènements extérieurs.

Mais place à Ophélie, son parcours, son métier, sa vision.

Parcours Professionnel d’Ophélie Coruble : Une Secrétaire Qui Devient Sophrologue

Peux-tu te présenter

Je m’appelle Ophélie Coruble. Je suis mariée et maman de deux grands ados. Je suis secrétaire de direction dans l’Éducation Nationale à plein temps, et depuis peu, sophrologue. J’ai également une passion pour la lecture et l’écriture et suis auteure quand la vie m’en laisse le temps. Hypersensible, j’essaie de mettre mon empathie au service des autres.

En tant que femme multi-casquette, comment équilibres-tu les aspects de ta vie avec ton rôle de sophrologue ?

Pour le moment, je cherche encore un équilibre, en me demandant si l’équilibre est quelque-chose qui me correspond vraiment. Je fais au mieux, j’essaie ! La sophrologie organise mes ressentis. Prendre du temps pour l’autre, c’est pour moi une manière de me recentrer.

Qu’est-ce qui t’a initialement attirée vers la sophrologie ?

Comme beaucoup, la crise du Covid m’a ouvert les yeux sur ce qui était essentiel. J’ai toujours été convaincue que l’être humain a des capacités dont il n’imagine pas la portée. Je souhaitais, à mon niveau, contribuer à cette prise de conscience. J’ai toujours été attirée par l’humain (j’ai d’ailleurs fait des études en psychologie à la fac) et la sophrologie est un moyen pour que chacun trouve en lui les clés de son mieux-être. Pour être plus précise dans mon projet professionnel, j’aimerais à plus ou moins long terme, aider les couples dans leur sexualité (mais c’est une autre histoire !)

En tant que sophrologue, comment intègres-tu ton amour des challenges et de l’adrénaline dans tes séances ?

Je fais souvent la comparaison entre le travail d’un sophronisé (le client), et celui d’un sportif : atteindre un objectif, c’est se donner les moyens de réussir, il faut donc s’entraîner, car plus on s’exerce, plus l’objectif nous semble atteignable. C’est un peu ma casquette de coach qui fait surface à ce moment-là ! Nous sommes tous, dans notre individualité et nos différences, capable de grandes choses, chacun selon ses ressentis, naturellement.

Passions Diversifiées : L’Écriture et la Sophrologie chez Ophélie

En tant qu’auteure, comment ton expérience en tant que sophrologue influence-t-elle ton écriture ?

De premier abord, je dirais que c’est mon expérience d’auteure qui influence ma manière de mener une séance. Mon imaginaire est un outil fondamental pour ma pratique (surtout lors des visualisations). Mais en prenant du recul, je constate que l’expérience des ressentis d’autrui donne encore plus de profondeur et de relief à mes personnages, à mes histoires. Etre sophrologue et auteure est parfaitement complémentaire et mon rêve serait de pouvoir vivre uniquement de ces deux passions.

Peux-tu partager une expérience où tu as utilisé une sophronisation pour aider quelqu’un à surmonter un défi personnel particulier ?

Je n’ai encore que peu d’expérience, et bien entendu, il est utopique de penser qu’il suffit d’une sophronisation (exercice statique de visualisation) pour surmonter un défi personnel, mais un exemple me vient : lors de la dernière séance d’un de mes clients. La personne à qui j’ai présenté la visualisation (une projection future dans la réussite de son objectif – pour résumer rapidement), m’a confié lors du temps d’échange de fin de séance qu’elle n’aurait pas cru possible de se projeter dans la réussite, mais que finalement cela s’est fait naturellement et en confiance. Ce sentiment lui a procuré force et satisfaction et constater cela m’a conforté dans la pertinence de ma pratique.

Peux-tu partager un moment où tu as vu la sophrologie avoir un impact significatif sur la vie de quelqu’un que tu accompagnais ?

Il y a eu plusieurs moments. Tous différents dans les ressentis mais avec le même point commun : des personnes qui ne pensaient pas que la sophrologie améliorerait leur vie, et qui ont complètement changé de point de vue après les séances.

Comment crées-tu un espace sécurisé et propice à la sophrologie pour tes clients, en tenant compte de ta fascination pour l’infiniment grand ?

C’est justement ma fascination pour tout ce qui nous échappe qui me permet de comprendre combien avoir un espace à soi, intime et protégé, est primordial. On ne peut pas sauter dans le vide si l’on n’a pas d’abord notre bulle de protection intérieure. Je ne bouscule pas mon client, et je prends en compte ses ressentis. Je suis comme l’élastique en quelque-sorte, je suis là, mais en renfort, je ne me fait pas voir. Ce n’est pas moi qui ferai le grand pas.

Quels conseils donnerais-tu à quelqu’un qui cherche à intégrer la sophrologie dans sa vie quotidienne ?

En premier lieu évidemment, je lui conseillerai de rencontrer un sophrologue afin de mieux appréhender cette discipline pour suivre un protocole individualisé, car c’est ce qui aura le plus d’impact dans sa vie. Mais les séances de groupe ou les ateliers peuvent également donner des outils à utiliser au quotidien. Le plus important est de porter attention à ses sensations propres, s’écouter et se retrouver.

Ophélie en Quête de Légitimité

Quels sont les principaux défis que tu as rencontrés en tant que sophrologue et comment les as-tu surmontés ?

Le plus difficile en début de carrière, c’est le syndrome de l’imposteur. Je m’interroge beaucoup sur ma légitimité. Mon plus grand défi à l’heure actuelle, c’est de croire en mes capacités ! Le comble, non ? C’est pour cela que j’attends avec impatience mon entretien face au jury, lors du passage de mon examen final pour la certification.

En tant que personne qui aime les challenges, existe-t-il un défi particulier lié à la sophrologie que tu aimerais relever à l’avenir ?

Pas de défi particulier pour le moment, juste l’envie de bien faire, et d’aider mes clients à atteindre leur objectif. C’est tout ce que je souhaite pour l’instant.

Comment utilises-tu la sophrologie pour aider les personnes à prendre du recul et à trouver leur place dans le monde et dans l’univers ?

Comme je le disais, la sophrologie permet à chacun de se recentrer. Trouver sa place dans le monde et l’univers ne peut se faire que lorsqu’on sait déjà qui on est. « Connais-toi toi-même » Socrate l’avait bien compris !

Si tu pouvais partager une seule leçon ou idée avec le monde à travers ta pratique de la sophrologie, quelle serait-elle ?

« La plus grande chose au monde, c’est de savoir être à soi ». Montaigne. Voilà l’idée que j’aimerais partager.

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